Fred Vargas
Fred Vargas, nom d’écrivaine Frédérique Audoin-Rouzeau, née le 7 juin 1957 à Paris, est une archéozoologue et romancière française.
Mais Fred Vargas a découvert que le problème était pire qu'elle ne
l'imaginait.
Dans son dernier livre « l’humanité en péril » elle essaie de faire prendre conscience de la gravité des actes envers notre planète et les décisions de l'Etat. Mais surtout elle veut un maximum que ses lecteurs développent une réelle prise de conscience en agissant différemment envers cette planète. Elle s’exprime avec des mots tranchant afin de marquer les esprits pour avoir des résultats.
J’ai pu regarder de nombreuses vidéos sur sa façon de s’exprimer mais j’ai aussi pu me renseigner sur internet a travers des articles, c’est une femme qui m’a appris énormément de chose sur l'environnement mais également sur le point de vu des hommes politiques.
Gullia - "Tourne Tourne"
" LE MONDE EST UN BALLON, QUI VA SE DÉGONFLER ET MANQUER D’OXYGENE. LA PLANÈTE RESPIRE ELLE A PEUR DE MOURIR.
PREND MA MAIN DANS LA TIENNE, ON VA FORMER LA PLUS BELLE DES CHAINES, UN PEU D’AMOUR POUR LUI PORTER SECOURS. LES GENS ONT PERDU LA TÊTE.
LA PLANÈTE A PEUR DE PERDRE SES COULEURS "
Un danger pour notre planète.
Notre planète est aujourd’hui fatiguée et malade. Nous l’observons dans beaucoup de manifestations, à savoir ; tsunamis, dérèglements climatiques, eaux souillés, déforestations, incendies, pandémies, fonte des neiges.
Depuis que L’homme existe il a mis en place et appliqué son intelligence à la réalisation de nouvelles technologies industrielles, économiques, scientifiques au niveau planétaire. Mais ce qu’il a oublié de prendre en considération, c’est le respect des matières fournies par notre terre, qui permettent en effet une évolution dans nos pratiques quotidiennes, ainsi dans son évolution, il en a oublié la protection et l’union de nous tous.
Espérons qu’un jour l’homme se réveillera en créant un monde meilleur en osmose avec son environnement et mettant au service de chaque homme la possibilité d’être en harmonie avec le monde qui’ l’entoure, ainsi qu’avec son environnement.
Nous savons tous que la terre va mal, et qu’elle en train de s’essouffler. Le climat se réchauffe considérablement nous pouvons l’observer chaque année avec l’augmentation des températures en période estivale mais également en hiver, avec le manque de neige qui fait défaut dans les stations.
Même s’il existe le G7 où se rencontrent les ministres et chargés de missions dans chaque domaine (économie et finances, défense et sécurité internationale, éducation, environnement, développement, etc.), afin de préparer le programme du sommet annuel, et mettre en œuvre les initiatives prises lors du sommet cela ne fait pas avancer les choses rapidement.
Toutefois, il nous faut prendre en considération l’immensité de tous ces dangers, afin que les générations futures puissent prendre la mesure de tous ces états dans laquelle se trouve, la planète bleue aujourd’hui.
Pouvons-nous envisager un retour en arrière ? et est-il possible que le cri d’alerte ouvre l’opportunité à un commencement d’une nouvelle ère ? …
Comment nous en sommes arrivés là ?
Est-il trop tard pour inverser la tendance ? éviter d’aggraver la situation est toujours possible.
Ce point de non-retour est totalement dû aux activités humaines, et nos scientifiques disent que nous pourrions déclencher l’extinction des espèces animales comme jamais nous l’avons vu depuis l’ère des dinosaures.
La population qui a augmenté de 350 % en 70 ans, est passé de 2 à 7 milliards. Le PIB mondiale qui nous fait voir sa pointe vertigineuse, la consommation d’énergie primaire comme le pétrole, l’uranium, la consommation des fertilisants qui étaient pratiquement inexistantes en 1950, est passée de 1 millions à 180 millions de tonnes par an. La consommation de l’eau à atteint plus de 4 kilomètres cubes par an, soit 4 mille milliards de litres d’eau par an. Il y a aussi les productions de papiers, les voitures, les téléphones, le tourisme internationale…
On trouve aussi la concentration de CO2 qui montre le même pique de consommation, et la température de surface, la dégradation de la biosphère terrestre, la perte des forêts tropicales et la capture des poissons, avec des chiffres de 75 millions de tonnes par an, c’est-à-dire 2 tonnes et demie par secondes. Il en est de même pour la viande en France, selon l’information de l’association L214, on tue plus de 1 milliard d’animaux par an, c’est à dire plus de 120 000 animaux par minutes, et dans le monde 2.000 par secondes. Si nous ne faisons rien d’ici 2050, ce sera 463 milliards d’animaux abattus par an, donc 15 000 animaux pas secondes.
A cause d’une surconsommation excessive pour tous. À savoir que la principale source d’émission de gaz à effet de serre est la consommation d’énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz naturel). On en brûle essentiellement pour produire de l’électricité ou alimenter les moyens de transport.
L’élevage intensif a sa part de responsabilité. Le bétail est responsable, par ses déjections et ses flatulences, de 37% des émissions de méthane liées à l’activité humaine. Avec la croissance de la population mondiale, la consommation de viande ne cesse d’augmenter et le phénomène s’aggrave.
Et demain ?
Avec la montée des températures, la banquise fond et les glaciers reculent. Les neiges qui recouvraient le Kilimandjaro, il y a encore vingt ans ont presque totalement disparu. À plus ou moins long terme, les eaux des océans devraient monter, inondant les zones côtières les plus basses. Les phénomènes météorologiques extrêmes devraient s’intensifier. Certains scientifiques estiment même que la fonte des glaces pourrait dérégler les courants marins, dont le Gulf Stream, qui nous assure un climat doux. Tous ces changements auront pour conséquences des déplacements massifs de populations que l’on nomme déjà les réfugiés climatiques. Aujourd’hui, avec l’épidémie qui touche l’ensemble du monde, ne faut-il pas se poser la question du bon sens et de prise de conscience. De refaire, de réfléchir, et de créer une nouvelle façon de voir notre existence humaine, sous un autre angle.
Tous les pays réunis pourraient vivre en harmonie si chacun observait ce qu’il a sur ses terres, ainsi, que toutes les richesses qu’ils leurs appartiennent. Si cela était respecté il n’y aurait aucune nuisance à l’économie. Chaque territoire a des réserves immenses, que produit la terre nourricière. Il faudrait apprendre à la respecter, à l’aimer, et encourager l’humanité à vivre autrement.
Il faut retenir également, que les produits toxiques sont présents dans notre nourriture, dans nos produits d’entretiens, de beauté, dans nos appareils électroniques, dans nos murs, dans nos jardins, dans nos corps... Ils envahissent nos forêts, nos rivières et finissent par détruire l’environnement.
Comment en est-on arrivé là ?
L’affaire n’est pas nouvelle. On parle du trou dans la couche d’ozone depuis plus de 20 ans. Les produits chimiques et nucléaires rejetés directement dans l’atmosphère l’ont dégradée, privant la terre d’une de ses protections face au soleil.
Le secteur industriel présente des risques de pollution importants. L’agriculture est grande consommatrice de pesticides et autres engrais chimiques qui, loin de disparaître, s’accumulent dans les sols, les rivières et les nappes phréatiques.
L’industrie nucléaire, produit des déchets radioactifs que la technologie actuelle ne permet pas de supprimer. La seule solution existante est aujourd’hui l’enfouissement. Solution peu fiable compte tenu de la durée de dangerosité de ces déchets.
Et demain ?
Les rejets toxiques entraînent des conséquences néfastes sur l’environnement dans sa globalité. Cette pollution décime les espèces les plus sensibles. Je pense que l’évolution de notre planète dépend également principalement des réponses de l’état face aux problèmes actuels de pollution et de réchauffement du climat. Nous pouvons de notre coté essayer dans notre vie quotidienne de limiter individuellement nos dégâts planétaires en mettent en place des gestes pour limiter la consommation d’énergies, ou en limitant nos déchets, mais aussi dans notre alimentation en limitant notre consommation de viande au quotidien simplement en remplaçant la viande par des lentilles, des algues… essaie de valoriser le verre et dégage ce stupide plastiques qui tue nos dauphins et nos tortues.
Je compte sur toi !
A toi d’agir dans ta vie pour améliorer les choses, tu peux peut-être essayer pour les animaux autour de toi, ou bien pour la survie de l’homme, si nous agissons tous nous pourrons peut-être parvenir à sauver nos enfants. J’ai le même Age que toi, nous sommes jeunes, et nous sommes les jeunes qui prennent conscience de la gravité, nous sommes les futurs, nous pouvons malgré tous agir à petit échelle. Tu as réussi à lire mon article en entier alors que je suis sûre qu’au fond de toi déjà tu as su faire un grand pas pour te renseigner. J’espère avoir pu t’ouvrir les yeux et te donner envie d’agir chez toi, dans ta famille, en pensant à l’écologie plutôt qu’à la mode ou qu’a l’argent.
J’ai confiance en vous, aux jeunes d’aujourd’hui, j’ai confiance alors fonce !
Chloé Cabouat
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